vendredi 4 décembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
Alan Vega
Je ne connais malheureusement d'Alan Vega et de son groupe Suicide que ce qu'on peut trouver sur internet, et c'est déjà très impressionnant.
Je viens de voir un petit documentaire au montage syncopé qui, s'il donne musicalement une vague idée de ce que faisait le groupe sur scène, en rend le sous-titrage pénible à suivre.
Mais, en se concentrant, on apprend pas mal de choses, dont la vision qu'a l'artiste de son œuvre, et surtout la genèse du groupe, qui est assez épatante.
Je viens de voir un petit documentaire au montage syncopé qui, s'il donne musicalement une vague idée de ce que faisait le groupe sur scène, en rend le sous-titrage pénible à suivre.
Mais, en se concentrant, on apprend pas mal de choses, dont la vision qu'a l'artiste de son œuvre, et surtout la genèse du groupe, qui est assez épatante.
dimanche 8 novembre 2009
vendredi 6 novembre 2009
jeudi 5 novembre 2009
samedi 31 octobre 2009
Death Metal Bio
S'habiller tout en noir, ça peut paraître cool à première vue, mais faut quand même avouer qu'on a l'air d'un con (en particulier avec des bottes à semelles compensées et une sorte de peignoir de salle de bain en simili cuir qu'on ose appeler cape - même Batman se marre en voyant ça).
Les piercings, non seulement c'est moche, mais en plus ça fait mal, surtout quand ça s'infecte.
Les tatouages pareil (on passe les détecteurs de métaux par contre, c'est déjà ça).
Fumer donne le cancer, et en plus ça pue (n'imaginez pas emballer quoi que ce soit avec l'haleine d'une vieille botte de cowboy).
Mais alors, me direz-vous, comment je fais pour écouter du Death Metal sans me ruiner la santé ni passer pour un pécore ?!
C'est tout simple : passez au Death Metal Bio.
Les piercings, non seulement c'est moche, mais en plus ça fait mal, surtout quand ça s'infecte.
Les tatouages pareil (on passe les détecteurs de métaux par contre, c'est déjà ça).
Fumer donne le cancer, et en plus ça pue (n'imaginez pas emballer quoi que ce soit avec l'haleine d'une vieille botte de cowboy).
Mais alors, me direz-vous, comment je fais pour écouter du Death Metal sans me ruiner la santé ni passer pour un pécore ?!
C'est tout simple : passez au Death Metal Bio.
vendredi 23 octobre 2009
Mustang
Du rock à la Memphis, qui ne joue (presque) pas sur le ridicule.
Le fait que ses textes soient en français et ses membres très jeunes (20 ans) distingue le groupe des foultitudes de copies nostalgiques et ridicules du King.
Cette énergie à peine sortie de l'adolescence et une qualité musicale précoce feront peut-être oublier le handicap de plusieurs décennies de ringardisation du genre. En tout cas, c'est plutôt couillu de leur part de s'y confronter sans détour.
Leur premier album, A71 (l'autoroute menant à la ville d'origine du groupe : Clermont-Ferrand - on a la route mythique qu'on peut), propose pas mal de bonnes choses (Je M'Emmerde, King of the Jungle), voire de très bonnes, comme Le Pantalon (les paroles valent le détour, ce qui est à nouveau atypique). J'accroche nettement moins sur les balades qui suivent, question de goûts, je suppose.
Leur dernier titre, C'est Fini, est surprenant. J'imagine que c'est celui-là en particulier qui incite la presse à parler de l'influence du mythique groupe électro Suicide (influence bien lointaine, àma).
On trouve très peu de vidéos du groupe sur la toile pour l'instant, mais heureusement une interview qui vaut le détour : toute la panoplie du méchant garçon élégant est portée par le chanteur. Ça va de la dégaine au phrasé, en passant par la gestuelle et un (très léger) côté provoc. Au final ils assument bien ce qu'ils font, et en parlent avec pas mal de maturité.
Une agréable découverte que le retour d'un son et d'un style qui vient du fond des âges du rock, mais à nouveau jeune, ce qu'il n'aurait jamais dû cessé d'être pour échapper au destin qu'il a connu.
Le fait que ses textes soient en français et ses membres très jeunes (20 ans) distingue le groupe des foultitudes de copies nostalgiques et ridicules du King.
Cette énergie à peine sortie de l'adolescence et une qualité musicale précoce feront peut-être oublier le handicap de plusieurs décennies de ringardisation du genre. En tout cas, c'est plutôt couillu de leur part de s'y confronter sans détour.
Leur premier album, A71 (l'autoroute menant à la ville d'origine du groupe : Clermont-Ferrand - on a la route mythique qu'on peut), propose pas mal de bonnes choses (Je M'Emmerde, King of the Jungle), voire de très bonnes, comme Le Pantalon (les paroles valent le détour, ce qui est à nouveau atypique). J'accroche nettement moins sur les balades qui suivent, question de goûts, je suppose.
Leur dernier titre, C'est Fini, est surprenant. J'imagine que c'est celui-là en particulier qui incite la presse à parler de l'influence du mythique groupe électro Suicide (influence bien lointaine, àma).
On trouve très peu de vidéos du groupe sur la toile pour l'instant, mais heureusement une interview qui vaut le détour : toute la panoplie du méchant garçon élégant est portée par le chanteur. Ça va de la dégaine au phrasé, en passant par la gestuelle et un (très léger) côté provoc. Au final ils assument bien ce qu'ils font, et en parlent avec pas mal de maturité.
Une agréable découverte que le retour d'un son et d'un style qui vient du fond des âges du rock, mais à nouveau jeune, ce qu'il n'aurait jamais dû cessé d'être pour échapper au destin qu'il a connu.
mercredi 14 octobre 2009
Tribute to
Ce blog se destine à combler mon envie de parler musique.
Pour l'essentiel.
A rythme très modéré.
Son nom est un hommage au blog de ce genre qui m'avait le plus plu.
Pour l'essentiel.
A rythme très modéré.
Son nom est un hommage au blog de ce genre qui m'avait le plus plu.
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